Un foyer chaleureux pour les animaux abandonnés
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À Deinze, le pont Jacques Rogge a été inauguré en mai 2022 en l'honneur de l'ancien président du Comité international olympique. La passerelle pour vélos est la pièce maîtresse architecturale de l'autoroute pour vélos F7 entre Gand et Waregem. La fine structure en acier enjambe la N35 sur une longueur d'environ 42,5 m et élimine ainsi un point noir du réseau cyclable.
Le pont Jacques Rogge fait partie d'un projet plus vaste : une véloroute de 600 m de long, construite à côté de la ligne ferroviaire surélevée. L'ensemble du tronçon a été construit en hauteur au moyen de structures en sol renforcé et comprend trois ponts cyclables en acier, dont le Jacques Roggebrug est le plus important.
Trois ponts
Les trois ponts ont été conçus selon les mêmes principes, qui visent l'élancement, la légèreté et la transparence, et dans lesquels le confort et l'expérience du cycliste sont centraux. La section transversale des ponts fonctionne comme une simple structure d'acier "pliée" dans laquelle le tablier du pont et la balustrade se fondent l'un dans l'autre. En laissant le parapet en acier fonctionner comme une structure de soutien, l'ensemble reste élancé. Du côté visible du pont, le parapet est ouvert par un gradient de perforations qui suit le cours de la tension dans le pont : de petites perforations aux points d'appui évoluent progressivement vers une ouverture maximale au milieu de la travée.
La paroi perforée du pont détermine l'architecture des trois ponts et joue un rôle central dans l'expérience de l'œuvre, tant pour le cycliste que pour l'observateur extérieur. Depuis le pont, le cycliste découvre l'environnement à travers les mailles ouvertes du filet. Pendant la journée, le cycliste assiste également à un jeu d'ombres et de lumières projetées sur le tablier du pont grâce à l'orientation sud du parapet perforé. Le soir et la nuit, le pont s'illumine comme un nouveau phare pour Deinze grâce à l'éclairage LED intégré.
Texte: Tom De Soete
Lieu
Maître d'ouvrage
Conception
Bureau d'études
Bureau de contrôle
Entrepreneur général
Constructeur métallique
Acier
Membres d'Infosteel
Localisation
Maître de l'ouvrage
Architecte / Concepteur
Bureau d'études stabilité
Bureau de contrôle
Entreprise générale
Constructeur métallique
Autres applications d'acier
Membres Infosteel
Un espace d’attente pour le public a été ajouté sous la forme d’une extension vitrée. Adossé à l’ancienne bâtisse, le nouveau volume, très épuré, léger et transparent, permet une mise en valeur mutuelle entre l’ancien et le nouveau. Le concept architectural a nécessité un travail approfondi sur les détails des structures et des profilés métalliques, pour donner une impression de légèreté. La structure composée de huit piliers métalliques, supportant (et à la fois devant assurer seule le contreventement du bâtiment) est peu perceptible, car intégrée à l’intérieur du volume. Différents profilés habillent et intègrent les éléments techniques, isolations, circuits de ventilation, climatisation et chauffage et socle du bâtiment. Celui-ci est composé d’éléments en fer plats (montants), de profilés HEB 200 (charpente) et d’éléments formés à froid avec de l’acier de nuance S355 (charpente). Tous ces éléments ont été traités avec une peinture anti-corrosion et une peinture de finition gris foncé.
Les bâtiments sont composés de deux grandes fonctions : bureaux et halls industriels, le tout complété de locaux communs. L’ensemble se veut flexible et modulable. L’acier est omniprésent : structure porteuse (charpente complète des halls), toiture (bacacier), enveloppe (panneaux sandwich+ bardage) et parachèvement/serrurie (notamment garde-corps, main courante des cages d’escaliers et portes intérieures). Les façades en bardage métallique (panneaux sandwich orientés) offrent une dynamique changeante dont l’esthétique, grâce à l’ombre portée, varie avec le temps et les saisons. L’utilisation de l’acier se justifie par la nécessité d’une grande rapidité d’exécution avec planification en amont (1 semaine de pose pour la charpente), la structure de grande portée (hall avec plan libre et porte-à-faux au-dessus de l’entrée camion des halls, réalisable seulement en acier), ainsi que l’exigence de flexibilité des espaces.
Equipé de 772 panneaux photovoltaïques installés en toiture et directement connectés au réseau, ce parking silo produit l’équivalent en électricité nécessaire à l’approvisionnement de 93 ménages pendant toute une année. Le choix de l’acier s’imposait car ce matériau répondait pleinement aux demandes du client pour une construction rapide et de l’architecte qui souhaitait une grande liberté architecturale, ainsi que des matières recyclables, légères, transparentes tout en prenant en compte des paramètres de confort tels que lumière, convivialité et durabilité environnementale. La partie porteuse est constituée de poteaux et de poutres en acier profilés à chaud. Tous les composants sont fabriqués sur mesure. Les trous pré-percés et les connexions boulonnées permettent un montage rapide et précis sur chantier. Les solives offrent des portées libres de 16 m. L’espace ainsi libéré permet de se garer aisément sans être dérangé par des poteaux et d’ouvrir les portières facilement.
Le site actuel du fabricant de porcelaine à Windhof ayant atteint sa capacité maximale, un bâtiment multifonctionnel de 5 500 m2 a été construit au “Krakelshaff”, pôle logistique et ferroviaire de Bettembourg. Le nouveau centre de distribution européen de RAK Porcelain permet à l’entreprise de regrouper toutes ses activités logistiques, comme la réception de 11 millions de produits finis en porcelaine expédiés au Luxembourg chaque année de l’usine de Ras al-Kaimah. Les trois quarts du bâtiment sont occupés par les stocks de porcelaine : une plateforme qui dessert toute l’Europe. A côté des 350 m2 de bureaux, se situe l’espace d’exposition où sont mises en scène les collections. La qualité des finitions et l’architecture intérieure créent une ambiance raffinée et très contemporaine qui renforce l’esthétique de l’ensemble. Une conception architecturale intelligente, des solutions constructives tirant parti des ressources disponibles telle que la structure en acier : cette réalisation allie esthétique et légèreté, et s’intègre parfaitement dans son environnement.
Lorsque ce bureau d’ingénieurs-conseils décide de construire son propre immeuble de bureaux, il souhaite réaliser un immeuble qui soit à son image. Un escalier en acier brut, suspendu dans le vide telle une sculpture verticale, relie les étages entre eux. Il est composé d’une structure en tubes rectangulaires et de tôles en acier. Les aciers (7500 kg) utilisés pour la construction portante sont de la nuance S235. Les volées d’escalier sont autoportantes d’étage à étage avec des points d’appui supplémentaires au niveau des paliers intermédiaires. La construction a été entièrement soudée. Les marches et paliers ont été réalisés avec une chape lissée coulée sur une isolation acoustique dans un bac formé par les tôles pliées. L’ensemble des structures de l’escalier est en acier brut, non-traité laissant apparaître les traces d’usinage et de fabrication. De même, des traces de rouille formées après le montage sur chantier restent visibles et donnent ainsi une patine unique à l’escalier.
Pour ses 50 ans d’existence, CARGOLUX a emménagé dans son tout nouveau quartier général à côté de son hangar de maintenance. Le bâtiment se compose de plusieurs ouvrages métalliques : un parking multi-étages, une passerelle-cantine, un hall des simulateurs et un spectaculaire anneau de bureaux surplombant l’ensemble en générant de grands porte-à-faux (40,5 m). La charpente métallique de 1270 tonnes d’acier (S355 et S460 HISTAR) repose sur 16 appuis noyés dans la construction en béton armé des noyaux d’escaliers. L’objectif principal était de développer une construction portante la plus légère possible pour limiter les déformations de l’ouvrage selon les critères d’acceptation du vitrage. Pour assurer la coordination géométrique entre les différents acteurs du projet (concepteurs et entrepreneurs), la modélisation 3D en BIM s’est avérée déterminante. L’entrée principale du bâtiment accueille en outre un escalier métallique d’un poids de 14,2 tonnes, livré en une pièce.
A l’instar d’une gloriette en fer forgé, le nouvel espace ajouté se présente sous forme d’un petit pavillon posé dans le jardin. La terrasse fonctionne comme un belvédère sur deux niveaux. En bas, l’espace se développe comme une aire propice aux jeux d’enfants avec balançoire attachée à la construction et ambiance de maisonnette avec fenêtre sur jardin. Inspirée du fameux système « Dom-Ino » de le Corbusier, la gloriette de 1500 kg est quant à elle réalisée entièrement en acier S235. L’utilisation de l’acier a permis de développer une structure filigrane et épurée créant une construction rationnelle et élancée. La préfabrication en atelier a rendu possible un montage très rapide et propre sur chantier. La gloriette bénéficie aussi d’une longévité exceptionnelle grâce à des procédés de finition résistants à la corrosion comme la galvanisation et le thermolaquage.
Un espace de travail en open space a été divisé en deux sans pour autant transformer le caractère ouvert de l’ensemble et sans rendre l’espace plus sombre. Les parois réalisées délimitent les deux espaces sans les séparer acoustiquement car elles s’arrêtent à une certaine hauteur sous plafond. Composées d’une partie basse non vitrée et d’un vitrage, elles reprennent les dimensions et hauteurs des fenêtres existantes de ces anciens ateliers de l’ARBED. Tous les profils sont en acier brut non traité, la tôle de remplissage est en acier noir. L’intérieur des tôles est recouvert de feutre gris clair dans un souci d’amélioration de l’acoustique des espaces de travail. La structure métallique préfabriquée à l’atelier et le vitrage ont pu être mis en place en 3 semaines seulement, le vitrage ayant été posé sur place. En utilisant de l’acier brut non traité et en vissant les parcloses, le verre et les profils en acier peuvent être facilement séparés ultérieurement et la structure entière réutilisée.
Le hall sportif de 3000 m2 est revêtu d’une façade composée de panneaux d’acier auto-patinable (corten) perforés. Inspirée de la nature et des bois environnants, la façade en acier corten exprime ainsi parfaitement l’aspect naturel et brut recherché, en plus de son aspect économique et de sa durabilité dans le temps. Les perforations créent une image de bandes entrecroisées de différentes largeurs. Chaque panneau métallique perforé est unique afin de garantir la continuité des motifs. À l’intérieur du bâtiment, le motif végétal se poursuit. Dès l’entrée, une vue dégagée s’ouvre sur les sièges des spectateurs et le terrain de sport en contrebas. Derrière les gradins, les perforations restent visibles des usagers. Cela participe à créer une ambiance lumineuse singulière et à filtrer les vues vers la rue. Les ouvertures dans l’enveloppe du bâtiment, qui sont inhabituellement généreuses pour une salle de sport, ont été placées de manière ciblée et renforcent ainsi la conscience de l’environnement.
Un ancien entrepôt est devenu le siège de la société informatique DSL. Le hall existant en poutres d’acier, qui présentait une haute qualité architecturale, a été conservé et repeint pour mettre la structure porteuse en valeur. Le concept circulaire visait à adapter l’entrepôt tout en préservant le caractère brut du bâtiment. Le bâtiment de 1950 m² comprend une zone de réception, une cuisine pour le personnel, des salles de réunion, des bureaux individuels et en open space, un espace d’exposition, une terrasse extérieure et de vastes espaces de rangement. L’objectif principal du projet était d’apporter plus de lumière naturelle pour favoriser un environnement de travail positif et accueillant. Un escalier central en chêne massif remplit la fonction d’espace commun. L’architecte a privilégié une palette de matériaux et textures à tonalités complémentaires tels les murs blancs, des poutres en acier gris mais aussi des parquets rustiques en contraste avec le caractère brut des lieux.
Implanté dans la zone Nord du site du Parc des Sports, le volume simple et compact est constitué en partie de voiles de béton et en partie de voiles en bois massif et poutres bois en lamellé-collé (salle principale), ainsi qu’en structure acier : auvent, poutre treillis de contreventement du mur rideau, locaux aération. Les façades sont composées d’une façade ventilée de bardage Douglas et châssis en profilé alu à coupure thermique et triple vitrage. Les éléments en acier de la façade principale sont composés de manière à mettre en scène les contraintes qui agissent dans la matière. L’auvent en ossature acier est en partie suspendu à un câble. La poutre treillis est dessinée pour optimiser la reprise des charges et limiter la flèche de l’élément. A l’intérieur, l’emploi des matériaux rappelle celui des bâtiments industriels. Béton et techniques sont apparents tandis que les finitions font généreusement appel à l’acier : panneaux acoustiques, bancs, garde-corps, mains courantes, etc.
Le projet se déploie sur deux niveaux rénovés de l’ancien hall industriel et regroupe, d’un côté, 2 studios d’enregistrement professionnels avec les espaces nécessaires à leur fonctionnement et, de l’autre côté, 9 salles de répétition accessibles au public. La rénovation comprend l’assainissement du bâtiment, la mise en œuvre de nouvelles fenêtres en acier inspirées des anciennes, de nouveaux murs et planchers ainsi que des aménagements intérieurs. L’identité du site a été conservée dans les espaces communs, là où l’acoustique n’a pas été traitée. La structure métallique existante a pu y être gardée visible. D’autres éléments industriels ont été conservés : ponts roulants, tuyauteries, volets roulant servant de coffrage perdu… etc. L’esthétique soignée des espaces « musicaux » contraste avec l’esthétique brute des espaces communs. Les parois y sont recouvertes de cassettes absorbantes métalliques spécialement conçues pour répondre aux exigences très spécifiques du projet.
La Casa Ferrero (30.000 m2) se compose de 2 blocs construits sur un sous-sol commun abritant un parking et rassemble plus de 1200 personnes auparavant éparpillées sur 5 sites. Hors sol, les deux blocs sont reliés par un atrium central entièrement couvert par une verrière de 800 m2. La circulation horizontale entre les deux blocs s’y fait via des passerelles décalées d’une portée d’environ 20 m. La circulation verticale s’effectue par des ascenseurs panoramiques vitrés. Les surfaces de bureaux se déploient sur 8 étages profitant d’un maximum de luminosité. La toiture, en grande partie en acier, abrite des locaux techniques. L’entrée principale se caractérise par un mur rideau d’environ 500 m2 derrière lequel se révèle l’impressionnant atrium. Elle est protégée par un auvent en porte-à-faux qui s’étire sur toute la longueur de la façade principale. Le choix de l’acier (S355) a notamment permis de franchir les grandes portées requises pour cette réalisation hors normes.
Dans l’entresol lumineux d’un nouvel immeuble de bureaux de cinq étages à Luxembourg-Kirchberg trône un escalier sculptural de forme hélicoïdale fluide, d’une teinte sombre et douce, doté de marches en terrazzo clair et illuminé par une coupole circulaire placée à sa verticale. Le garde-corps de cet escalier en colimaçon ̶ qui sert aussi d’escalier de secours ̶ est réalisé entièrement en acier. Les marches ont été réalisées sur chantier en béton armé. Un gabarit a été dessiné sur place sur des plaques en bois souples, puis le garde-corps a été fabriqué en pièces détachées à partir de tôle de 15 mm d’épaisseur et courbé en atelier. Transporté sur chantier, il a été fixé latéralement et de manière invisible contre les marches en béton. Les différentes parties ont ensuite été assemblées, poncées et laquées (RAL 8022) sur chantier. L’éclairage général et indirect de l’escalier, servant aussi d’éclairage de secours, est réalisé au moyen d’une LED linéaire intégrée dans la main courante de 20 mm de diamètre.
Le Royal-Hamilius est un projet mixte logements-bureaux-commerces de 5 bâtiments, dont l’emblématique B1 accueille les Galeries Lafayette. L’immeuble se caractérise par une façade non structurelle en acier ayant la forme et l’aspect du diamant. Il s’agit d’une façade reportée sur une charpente métallique. La façade principale est fixée à la structure porteuse du bâtiment en béton armé. 97 tonnes d’acier S355JR pour la façade et 22 tonnes pour la verrière coiffant l’atrium central ont été utilisées, essentiellement des profils tubulaires de dimension standard. Le choix de l’acier est principalement dû à la très grande distance entre les profils verticaux de la charpente – une portée horizontale de 9,09 m – qui rendait impossible l’utilisation de l’aluminium. Le restaurant ‘rooftop’ occupe les 2 niveaux supérieurs. Sa charpente métallique (54 tonnes d’acier S355JR) est un véritable objet d’art à elle seule, car rien, même pas les colonnes, n’est vertical.
Un bâtiment peut-il aujourd'hui, de manière réaliste, constituer la perfection exacte d'un projet ? C'est possible si l'on considère la "Nuvola" et la "Lanterna" réalisées par Stahlbau Pichler pour Fuksas. La signature du Studio, le diamant de verre et d'acier à géométrie variable serti au sommet de l'ancien bâtiment de l'Union militaire, s'intègre parfaitement dans le centre historique de la capitale. Le projet dans son ensemble est une architecture qui dénonce sa propre époque, démontrant l'importance, même pour la Ville éternelle, de construire une modernité qui dialogue avec le passé, affirmant la valeur d'elle-même. Le Palazzo a été construit au début des années 1900 et compte quatre étages utilisés pour les activités commerciales. Le projet de récupération proposait deux approches : la lumière sur la peau du bâtiment, l'ingénierie pour la structure interne (appelée "Lanterna") et pour le toit (appelée "Nuvola").
Une modification importante concerne la création de la structure centrale en acier qui, partant du bas du bâtiment, s'élève et traverse les quatre étages, émergeant au sommet avec le recouvrement d'une terrasse panoramique d'environ 300 mètres carrés. Deux types de verre ont été utilisés : un double vitrage hautement sélectif pour la Nuvola et un vitrage simple couche pour la Lanterna ; les deux éléments vitrés sont constitués d'environ 1 000 modules triangulaires, chacun de taille différente, couvrant environ 2 000 mètres carrés. La technologie de construction adoptée est intéressante : une structure résistante grâce à sa forme, non pas à cause des sections des profils mais à cause du concept médiatisé par les structures de poussée typiques des arcs romains antiques. Dans le détail, les surfaces vitrées sont soutenues par des tiges d'acier rigides, constituées de profils laminés sur mesure en S275 et S355. L'utilisation de la plate-forme Bim (Building Information Modeling), qui favorise la collaboration entre les clients et les fournisseurs externes, réduisant ainsi les coûts finaux, a été d'une importance fondamentale dans la gestion de toutes les phases du processus, de la modélisation aux calculs structurels, des achats à la production.
D'un point de vue architectural, la structure est immédiatement devenue un point de repère contemporain et un nom de lieu reconnu ; la nouvelle coupole est haute de 8 m et sa géométrie de base triangulaire contient des connexions verticales, des pièces de service, des pièces accessoires et une partie des systèmes. Le vide ainsi créé sur toute la hauteur permet de voir les différents étages, dont chacun ouvre au public un espace caractérisé par des sols décorés de "bulles" de tailles et de couleurs différentes, dans des tons de rouge, d'orange et de violet sur un fond blanc. Le rez-de-chaussée, conçu pour abriter un grand bazar, est également un espace ouvert et perméable qui relie la Via Tomacelli à la place adjacente. Le mobilier a également été conçu par le Studio Fuksas, principalement en fibre de verre et en privilégiant les lignes fluides.
Un escalier avec des marches en verre éclairées par des LED et des surfaces réfléchissantes complète la décoration intérieure et relie les espaces. Enfin, un sol en verre au rez-de-chaussée permet de voir certains des vestiges archéologiques mis au jour lors des travaux.
Texte et images: Fondazione Promozione Acciaio
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